Je suis le bruissement du vent qui voyage, le bruit des pas réguliers et du craquement inopiné d’une branche sous les précédents. Une coquille, vide, qui roule en descendant la pente. Avec en son sein, tonitruant à qui y prêtera l’oreille, le hurlement de la mer lointaine.
Marin du temps qui passe
Par lui je suis bercé
A travers lui,
Je voyage
PS : merci à Jean, d’avoir pris de son temps pour s’arrêter. Merci pour toute l’énergie transmise et pour la preuve, s’il en fallait, qu’on n’est jamais seul.
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