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Avec un niveau d’espagnol aussi basique que le mien, on pourrait penser qu’on nous souhaite sans cesse d’espérer. S’il vous plaît, espérez, qui plus est.

Bien sûr il n’en est rien, il s’agit d’attendre.

Depuis Strasbourg, j’ai marché chaque jour, sans relâche, deux mois. Puis vint l’Espagne, son indolence, ses rues toujours peuplées et ses femmes sublimes.

Alors je me suis assis et j’attends. Baignant dans l’espoir permanent, convaincu qu’un jour, tout ira bien. Ce jour est aujourd’hui, tous les jours sont aujourd’hui, la vie est toujours gagnante. Creo !

COMMENTAIRES

  1. Monique 

    Encore un très beau texte, une belle photo … un rendu magnifique de ‘ton chemin’.
    Adrien m’avais donné le nom de ton blog, comme je fais le chemin de Compostelle depuis quelques années, morceau par morceau, il savait que j’allais aimer.
    Buon camino Fados !